« Trentesixquinze Magazine n’est pas tout à fait un magazine, et pourtant nous l’appellerons quand même magazine. C’est plus joli, mais c’est surtout plus simple pour tout le monde, pour vous et pour nous, et en tant de crise mieux vaut ne pas complexifier davantage la situation. » Ainsi se présente Trentesixquinze, un magazine de captures d’écrans qui donc n’en est pas un.
Si l’idée n’est pas neuve, ni donc révolutionnaire, la démarche est suffisamment fraîche et spontanée pour qu’on ait envie d’en parler. « Ni vote, ni revote, ni commission de recollage, racolage ou contre collage. Trentesixquinze ira droit au but. Capture d’écran et pomme C – pomme V seront notre façon de procéder », racontent ainsi ses trois auteurs, Enora Denis, Marie Pantanacce et Florent Guerlain, en introduction au numéro zéro de Trentesixquinze paru il y a quelques jours. Soit un pdf de cinquante pages de captures d’écrans, commentées ou non, à télécharger et résumé ainsi : « l’Amérique choisit, le PS ne choisit pas, des dégradés de couleurs et de l’imagerie google ».
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